google-site-verification=9kZ1-TLJU3btufQKk09BcQL3_RFDhzc0x40fjtww-xc
top of page
Photo du rédacteurlaurence.brzozowski

Sophrologie ou méditation de pleine conscience ? Que choisir ?


Sophrologie et méditation de pleine conscience. Be-sophrologie. Laurence Brzozowski. Sophrologue Marcq-En-Baroeul
Sophrologie et méditation de pleine conscience

Lorsqu'on recherche une pratique de bien-être visant à la gestion du stress, se pose souvent la question du choix entre la sophrologie et la méditation de pleine conscience MBSR. Mais connaissez-vous la différence entre ces 2 pratiques ?

1. La sophrologie passe par le relaxation du corps pour atteindre un niveau de présence. En pleine conscience on ne vise pas (que) la relaxation mais une présence à tout ce qui est, tensions ou absence de tensions, pensées ou absence de pensées. J'ajouterai aussi qu'en pleine conscience lorsque l'on ressent un inconfort on essaie de le traverser, de le laisser être. Alors qu'en sophrologie on invitera simplement notre consultant à adopter une position plus adéquate pour son bien-être.

2. En sophrologie on accompagne le consultant avec un objectif de travail (gérer le stress, apprivoiser les émotions, surmonter l'angoisse, se préparer mentalement à un événement, développer la confiance en soi...). C'est l'état de pleine conscience atteint au cours de la séance qui permet de "prendre conscience" de ses capacités innées, acquises ou développées. Il n'y a pas d'objectif formulé dans une pratique « sans objet » de pleine conscience, si ce n'est de cultiver cet état de présence absolue qui permet d'apprécier la vie avec une nouvelle énergie, un vision clarifiée.

3. En sophrologie il y a une notion de temporalité. Toujours dans le but d'être bien au présent, nous explorons nos ressources acquises dans le passé par ex ou nous travaillons aussi pour anticiper ou préparer des événements futurs. En pleine conscience on vise l’instant présent.

4. Lors des relaxations dynamiques de sophrologie, nous pratiquons des mouvements associés à des intentions au delà du ressentis du schéma corporel (« lâcher les tensions », « inspirer le calme », « fixer la concentration »...). Les mouvements doux en pleine conscience ont pour intention pure de développer la présence au phénomène du mouvement lui-même.

Alors faut-il choisir ?

Non.


Je conseille souvent à mes accompagnés de prolonger leur expérience sophro par un parcours de pleine conscience (avec Laurent Motte, Emmanuel Faure ou Stephane Nau sur la région de Lille) lorsqu’ils ont envie d’approfondir cette présence à soi découverte en sophrologie.

De même des méditant(e)s de pleine conscience font appel à moi en sophrologie pour les guider vers un objectif précis.

Dans les 2 cas les pratiques se complètent merveilleusement pour le bien-être et le développement de l’être !

203 vues0 commentaire

Comments


bottom of page